En couverture, un abergement est destiné à assurer l’étanchéité sur le pourtour d’un élément de la toiture (une cheminée par exemple).
Pierre de schiste tendre et feuilletée d’un gris foncé bleuâtre qui a la particularité de se couper en fines lamelles. Sert principalement à la couverture des maisons ainsi qu’au bardage.
Arêtière : tuiles qui recouvrent l’arête d’un toit. (On dit aussi tuile arêtière.)
En couverture, l’arêtier désigne l’ouvrage d’étanchéité entre deux versants qui forment un angle saillant.
Revêtement appliqué à une façade ou un mur extérieur. Il peut être en bois, en PVC ou autres matériaux composites, en tôles métalliques ou en ardoises. Il renforce l’isolation d’un bâtiment et peut comporter des matériaux isolants
Généralement en zinc (mais aussi aluminium ou plomb), élément permettant d’assurer l’étanchéité entre deux éléments de couverture.
Par définition, les bandes de solin sont minces, continues et imperméables, destinées à empêcher l’eau et l’air de s’infiltrer dans l’enveloppe des bâtiments. En scellant les jointures et les ouvertures avec ce type de matériau, les constructeurs assurent une étanchéité totale contre l’eau et l’air.
Conduit en métal, éventuellement en pierre ou en terre cuite, collectant les eaux pluviales à la base de la toiture ou entre deux versants, pour en permettre l’évacuation vers les tuyaux de descente.
Produit utilisé en toiture pour réaliser l’étanchéité du faitage ou de l’arêtier
Qui peut se fendre, se décomposer sous l’effet du gel, en raison de l’eau qui s’y est infiltrée.
C’est un produit hydrofuge qui permet d’imperméabiliser les surfaces (toit, façade…) pour lutter contre l’humidité.
Qui ne pourrit pas sous l’action de l’eau.